L'école du crime

Une ex-prostituée vient d'être retrouvée pendue, à moitié scalpée, la bouche fourrée de cheveux, entourée de bougies rouges et d'un essaim de mouches mortes. Pour Kathy Mallory, gosse des rues devenue une pro de la police criminelle et de l'informatique, cette nouvelle enquête s'annonce particulièrement sensible. Malgré la chirurgie esthétique, cela ne fait aucun doute: la victime, Sparrow, est une vieille connaissance. Dans l'air flotte un parfum de déjà vu, une affaire similaire non résolue qui s'est produite plus de vingt ans auparavant… Secondée par son fidèle coéquipier, Riker – toujours amateur de mauvais bourbon –, Mallory va mener l'enquête: dans cette ballade new-yorkaise des pendues, Sparrow n'est ni la première victime ni la dernière.

Un peu dur à suivre parfois entre passé et présent, souvenirs et réalité, mais de nouvelles informations sur le passé de l'héroïne qui permettent de mieux la comprendre.

Les larmes de l'ange

À Owltown, petite bourgade du Mississippi, c'en est fini de la paix et de la sérénité hypocrite. Kathy, la fille de Cass Shelly, morte dix-sept ans plus tôt, lapidée par une foule haineuse, est de retour.
Dès son arrivée, les langues se délient. On l'a reconnue, la petite Kathy. Tout le portrait de sa mère... Mais, ce qu'ils ne savent pas et qu'ils apprendront à leurs dépens, c'est que l'ancienne petite fille gracile est à présent l'inspecteur Mallory et qu'elle est prête à tout pour démasquer les coupables et leur faire payer ce crime atroce... Car elle doit se libérer de ce passé tragique qui la hante.

Le quatrième volet de la série nous dévoile le passé de Mallory, ou en tous cas les causes de sa fuite et le traumatisme qui a forgé son caractère.  

Après avoir relu ce tome (dont mes souvenirs étaient très limités), je me demande comment va évoluer la suite...

L"assassin n"aime pas la critique

Un artiste harmonieusement démembré et transformé en sculpture. Une jeune danseuse délicatement massacrée à coups de hache. Un critique d'art talentueusement achevé avec un pic à glace...
À des années d'intervalle, les crimes se suivent et se ressemblent.
Il est vrai que vouloir élever le meurtre au rang de chef-d'oeuvre a de quoi émouvoir le milieu blasé de l'art new-yorkais. Mais il en faudrait plus pour impressionner Mallory, la jeune et belle inspectrice chargée de l'enquête. Aussi redoutable et cruelle que les tueurs qu'elle traque, Mallory ne lâche jamais sa proie avant de l'avoir prise au piège.

Le style m'a semblé plus fluide dans ce tome.

Impatiente de relire le suivant qui donnera les clés du passé de Mallory, retour initié par ce qu'elle vit dans ce tome-ci.

L'homme qui mentait aux femmes

Le mensonge est le propre de l'homme.; la plupart sont sans conséquence, seuls quelques-uns sont mortels. Celui qui foudroya Amanda Bosch est inavouable.
Brutale et sarcastique, l'inspecteur Kathy Mallory doit s'immerger dans l'univers ouaté des quartiers chics pour tenter de découvrir la vérité. De son côté Charles Butler, l'ami de toujours et adepte du paranormal, aimerait l'aider en faisant parler le fantôme d'Amanda. Caché dans l'herbe haute des mensonges, l'assassin n'est pas loin, prêt à tuer encore s'il se sent menacé.

Bon polar

Meurtres à Gramercy Park

Vent de panique sur Gramercy Park Celui que les habitants de cet élégant quartier de New York surnomment "l'homme invisible" a encore frappé. Une vieille dame aux cheveux bleutés a été égorgée en plein jour dans un jardin public au nez à et à la barbe des passants. Comme les autres victimes, elle était férue de spiritisme et adorait boursicoter.
Les esprits, l'homme invisible, Kathy MALLORY n'y croit pas. Les vieilles dames milliardaires, elle s'en moque ! Ce flic pas tout à fait comme les autres, enfant des rues, voleuse confirmée, experte en piratages informatiques, possède un code moral très personnel et est prêt à tout pour trouver le meurtrier qui en plus et surtout a assassiné Louis Markowitz, le chef de la brigade criminelle, son père adoptif...

J'ai commencé à relire la série dans l'ordre et je m'aperçois que je ne me souvenais de rien (au bout de 20 ans c'est sans doute normal) si ce n'est les personnages récurrents et pour ce tome le lieu du dénouement...

Mis à part qu'on passe régulièrement du coq à l'âne c'est une lecture agréable qui offre une version peu conventionnelle de la police.