mardi 22 août 2017

Trois souris...

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Dans l’obscurité d’une maison endormie, un cri déchire le silence... Un crime vient d’être commis... Ainsi se lève le rideau sur l’un des plus grands succès de la scène internationale, « La Souricière », qui tient l’affiche sans interruption depuis plus de cinquante ans. Adaptée par Agatha Christie d’une nouvelle écrite en 1947, jouée pour la première fois à Londres en 1952, cette mésaventure de trois petites souris porte la marque de son auteur : humour et coups de théâtre sont au rendez-vous. Et comme tous les grands maîtres du suspense, Agatha Christie préférait que ses spectateurs ignorent la clef de l’énigme avant de pénétrer dans le théâtre...

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Prologue : Maureen Lyon est assassinée à Londres.
La pension « The Monkswell Manor » va enfin ouvrir ses portes afin d'accueillir plusieurs visiteurs, sous la direction de Molly et Giles Davis, jeunes propriétaires du manoir récemment mariés.
Le jour de l'ouverture, les clients arrivent les uns après les autres, juste avant qu'une tempête de neige ne bloque la maisonnée du village.
Le lecteur fait la connaissance des différents personnages, qui ont tous un caractère affirmé. Plusieurs semblent avoir des choses à cacher sur leur vie passée.
Par téléphone, Molly et Giles sont informés par la police du comté qu'un policier, le sergent Trotter, va se présenter afin de mener une enquête.
Lorsque Molly et Giles évoquent l'arrivée prochaine du policier, chacun des résidents réagit de manière étrange.
Le sergent Trotter se présente au cottage et leur explique que l'enquête sur le meurtre de Maureen Lyon à Londres a permis de découvrir un calepin sur lequel n'étaient inscrites que deux adresses : celle de Maureen, et celle de la maison des Davis. De ce fait, la police se demande si le meurtrier n'aurait pas trouvé refuge dans la pension de famille, qu'il s'agisse de l'un des clients, ou de l'un des gérants… Le meurtrier serait en lien avec un terrible drame survenu 10 ou 15 ans auparavant : trois enfants avaient été placés, en raison de l’inaptitude des parents à s'occuper d'eux, dans une famille d'accueil vivant en milieu rural. Hélas, l'un des enfants était mort de sévices commis par le fermier, et les deux autres enfants avaient été retirés en catastrophe, avec des séquelles psychologiques graves.
Le sergent Trotter laisse suggérer qu'après celui de Maureen, un ou plusieurs autre(s) meurtre(s) pourrai(en)t être commis par le/la déséquilibré(e) ou un membre de sa famille pour « venger » les souffrances subies par les trois enfants.
Alors que l’enquête vient juste de commencer, un meurtre est commis dans la bibliothèque de la maison : Mme Boyle est étranglée alors qu'elle écoute la radio…

Un début prometteur, mais une fin trop rapide (parce que c'est une nouvelle sans doute) manquant de détails pour les personnages secondaires et, connaissant Agatha Christie, un coupable trop vite soupçonné (en tout cas par moi).

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