Scorpi 1 - Ceux qui marchent dans les ombres

Trempée par l'orage d'été qui s'est abattu sur Paris, Charlotte Laroche, 23 ans, jolie fille culminant à 1m50, découvre un petit garçon de 10 ans sur le perron de son immeuble. Blotti contre la porte, ses cheveux sombres dégoulinants, son T-shirt plaqué par la pluie, il essaier en vain de s'abriter. Il faut savoir que Charlotte est la gentillesse même. Alors que rôde depuis des jours dans Paris un tueur en série insaisissable, elle se dit qu'elle ne peut pas laisser cet enfant dehors. Elle lui propose de se réfugier chez elle, et d'appeler ses parents. L'enfant la suit sans un mot. Et quand il ôte son t-shirt pour se sécher, Charlotte découvre horrifiée un torse entièrement zébré de cicatrices. « Qui t'a fait ça ? » « Oh, ça ? C'est ma mère », dit-il indifférent. Charlotte va vite découvrir que cet enfant est bizarre. Il s'appelle Elias. Il parle très peu, mais quand il parle c'est pour dire des choses ahurissantes : ses parents et son grand frère, Adam, seraient des tueurs à gages, appelés les Scorpi. Lui-même est en apprentissage pour devenir une « créature de l'ombre », et doit vivre seul pendant un an pour faire ses preuves. Et sa phrase fétiche semble être « Tu veux que je le tue ? » Charlotte n'en croit pas un mot, d'abord. Mais une succession d'événements se charge de la convaincre : d'abord, un certain inspecteur Balard vient l'interroger sur une organisation criminelle menée par la famille Scorpi. Ensuite, Elias se débarrasse en un tournemain de deux brutes qui les agressent dans la rue. Enfin, dans son salon, elle trouve un jour une version 25 ans d'Elias, un grand brun aux yeux bleus outremer. Adam vient d'entrer dans sa vie, et celle-ci va tourner à la cavalcade. Charlotte en sortira moins naïve, moins seule, et beaucoup plus forte et plus heureuse ! Quand Bridget Jones rencontre Léon le tueur à gages. : De l'action, de l'humour et une belle histoire d'amour dans un monde de brutes sanguinaires.

Une super découverte. Le premier tome de la série Scorpi se laisse dévorer sans faim. C'est original et inattendu.

Chroniques d'une sorcière d'aujourd'hui (T2) - Alicia

Isabelle plonge la tête la première dans le mystère lorsque son frère Max l'appelle, en proie à la panique, et lui demande de venir d'urgence chez sa copine. Pourquoi cette danseuse de tango est-elle constamment malade et déprimée ? Et d'où lui vient cette passion incontrôlable et morbide pour les fleurs qu'elle dérobe sur les tombes du cimetière, où elle se rend tous les jours ? Ce qu'Isabelle découvrira ensuite va bien au-delà de tout ce qu'elle aurait pu imaginer…

J'ai mieux aimé le deuxième tome que le premier, il y a un peu plus de suspense et d'action, tout restant assez soft.  

Chroniques d'une sorcière d'aujourd'hui (T1) - Isabelle

C’est alors que je ressentis à nouveau la vibration qui accompagnait SA présence. Je levai les yeux. Bellotte se balançait devant moi, molle comme une grande poupée de chiffon, un peu transparente. Elle était pendue au grand lustre à pendeloques par une écharpe de soie enroulée plusieurs fois autour de son cou. Ses grands yeux noirs me regardaient fixement. Son visage était paisible, presque étonné. Mon Dieu, elle avait l’air si jeune !

Max et Isabelle avaient longuement planifié leur voyage en Bretagne, la terre de leur grand-père Legall. À dix-sept ans, ils pouvaient partir sans les parents. Au début, tout a été fantastique. Mais ça s’est gâté le jour où un monstrueux orage les a obligés à se réfugier au Manoir de Bellotte…

J'ai bien aimé ce roman légèrement paranormal.  Un peu long au démarage et laissant entendre dans la première moitié que des choses terribles vont se produire, alors qu'au final... le paroxisme de l'aventure est assez tiède.  Mais peut-être que des événements plus impressionnants se produiront dans les tomes suivants.

Le secret de Chimneys

A Londres, un prince déchu sollicite l'appui des Britanniques pour reconquérir son petit royaume des Balkans. A Paris, un de ses anciens ministres meurt en laissant des Mémoires bourrés de révélations explosives sur la famille royale. En Rhodésie, un aventurier sans le sou se voit confier la mission d'apporter à un éditeur londonien ce manuscrit que les services secrets anglais, aussi bien que les opposants au prince, aimeraient intercepter... C'est dans le cadre somptueux du manoir de Chimneys, une vieille demeure seigneuriale, que vont se retrouver les protagonistes de cette ténébreuse affaire. Chimneys, le lieu idéal pour un de ces huis clos criminels dont la romancière a le secret.

J'ai bien aimé ce roman à suspense.

Reading upside down

Happiness could be just around the corner…

“…perfect setting, perfect dress, perfect flowers, one hundred and eight guests – and one, total and utter, rat.”

Abandoned at the altar, Rosalind Shaw descends into the kind of depression which involves watching too much daytime TV and not bothering to shower as regularly as her mother would like.

Relocating, she begins a new life at antiquarian bookshop “Chapters”. Here Ros finds herself working alongside the intellectual, and intensely private, Andrew; the kind-hearted, sartorially splendid, Georgina; and Joan, a free-spirited, loose cannon of a pensioner, with a penchant for amateur dramatics and outdoor nudity.

But just when life might be starting to improve, Ros’ rather hairy neighbour, Daniel, knocks on her door with a bunch of flowers, a nervous grin and some rather distressing news…

Reading Upside Down is funny, intelligent and fast-paced – a feel-good novel of mistaken assumptions and misread intentions; of feelings hurt and forgiveness.



J'ai adoré cette chicklit, en particulier le fait qu'on ne devine pas dès le début qui finira avec qui.  L'héroïne est au départ en proie à une véritable dépression suite à une rupture difficile et unilatérale au pied de l'hôtel.  Le chemin est long pour en sortir, mais n'est ce pas comme ça dans la vie?

Jamais plus

Lily Blossom Bloom n’a pas eu une enfance très facile, entre un père violent et une mère qu’elle trouve soumise, mais elle a su s’en sortir dans la vie et est à l’aube de réaliser le rêve de sa vie : ouvrir, à Boston, une boutique de fleurs. Elle vient de rencontrer un neuro-chirurgien, Lyle, charmant, ambitieux, visiblement aussi attiré par elle qu’elle l’est par lui. Le chemin de Lily semble tout tracé. Elle hésite pourtant encore un peu : il n’est pas facile pour elle de se lancer dans une histoire sentimentale, avec des parents comme les siens et Atlas, ce jeune homme qu’elle avait rencontré adolescente, lui a laissé des souvenirs à la fois merveilleux et douloureux. Est-ce que le chemin de Lily est finalement aussi simple ? Les choix les plus évidents sont-ils les meilleurs ?
Le chemin d’une jeune femme pour se trouver et pour rompre le cycle de la violence.

Un conte de fées qui vire au cauchemard.   J'ai commencé ce livre sans en avoir lu le résumé, j'ai donc été quelque peu surprise par l'intrigue beaucoup moins légère que d'habitude de cette chicklit derrière laquelle onous ressent un vécu.  Je l'ai apprécié, mais j'avoue préférer les histoires qui ne prennent pas la tête. 

Miss Seeton paints the town

Plummergen village folk are keen as mustard to beat neighboring Murreystone and win the Best Kept Village competition. Art teacher Miss Seeton is asked to create some Before and After pictures, showing residents of The Street how to improve the look of their houses. Yet one of her sketches is worrying, showing her own cottage, Sweetbriars, amidst billowing smoke, all too reminiscent of the current spate of murderous arson being investigated. Then another, that looks at first like a cosy Wind in the Willows scene seems to hint at something very dark lurking in the shadows . . .

Serene amidst every kind of skullduggery, this eccentric English spinster steps in where Scotland Yard stumbles, armed with nothing more than her sketchpad and umbrella!

Miss Seeton égale à elle même, toujours une valeur sûre.